samedi 19 septembre 2009

Hyperfocus

L'hyperfocus est une capacité d'extrême-concentration, un état de conscience altéré, une faculté typiquement aspienne. Il s'agit d'une méthode de travial très efficace et qui produit habituellement un résultat de très grande qualité. En hyperfocus la personne concentre toute son energie et son esprit sur le sujet qui l'occupe, être sortie sans raison valable de cette état peut être extrêment irritant.

Il est regretable que les autres ne semble pas comprendre cette faculté, ils parlent d'être dans la lune ce qui sous entend la distraction alors que c'est tout le contraire. Si ils pouvaient comprendre ne serait-ce que le besoin de tranquilité de la personne en cet état de conscience particulier, ce serait un grand pas.

Simplement en prononceant un mot, en entrant dans une pièce ou en se promenant, on peut par inadvertance causer l'interruption brutale d'une activité importante. Une inspiration géniale, un fil de pensée facinant, un moment d'intériorité profonde, la solution au problème de la fusion de l'hydrogène, qui risque alors être perdu à tout jamais. La réaction de la personne sera en proportion de la frustration et de la confusion causer par cette grossière intéruption.

Si la personne est dans un processus de création: dessin, programmation, écriture, etc. Il est encore plus important de ne pas interrompre son hyperfocus. Car s'il y a une chose pire qu'être interrompu en hyperfocus c'est d'être interrompu dans un hyperfocus de création.

Quand quelqu'uns est en hyperfocus il y a certaines rêgles de politesse élémentaire à respecter:
  1. Respecter le besoin d'être laissé seul.
  2. Respecter le besoin de tranquilité de la personne.
  3. Ne déranger la personne que si c'est vraiement très important.
En cas de maladresse, excusez-vous pour cette interruption, car c'est une grande impolitesse que de briser un hyperfocus sans raison valable. Ne soyez pas surpris de la réaction d'exaspération de la personne que vous arrachez à son hyperfocus.

dimanche 12 juillet 2009

Différences 4

Il existe aussi d'importantes différences au niveau de la communication verbale. Celle-ci se situ à deux niveaux, dans la forme de la communication et dans sa dynamique.

Du point de vue de la forme, les aspies communiquent d'une façon direct et franche. Le but de la communication est l'échange d'information et fait appel à la raison pour convaincre l'interlocuteur. La communication neurotypique à pour but d'influer sur les émotions de son interlocuteur pour l'amener à réagir dans un sens voulu. Elle repose sur ce que les '-ologues' appel la «théorie de l'esprit» qui se résume à l'art divinatoire d'anticiper la réaction d'autrui.

Dans la pratique, le neurotypique ajuste son discourt à la réaction qu'il présume qu'il aurra sur son interlocuteur. En d'autre termes, celui-ci présume que tous pensent comme lui et que sa réaction à son propre discourt est valable pour anticiper celle des autres. Cela traduit une conception profondément «égocentriste», l'autre est un autre moi. Lorsque l'interlocuteur est connu, la réaction est contre vérifié sur ce qu'il pense savoir de celui-ci pour être plus prêt de la réalité. La «théorie de l'esprit» explique aussi le haut niveau de conformisme des neurotypiques, car autrement leurs anticipations sont systématiquement en défaut.

Évidament cette anticipation de réaction («théorie de l'esprit») fait patate face à un individu qui opére sur un modèle cognitif le moindrement différent. Lorsque cela se produit le neurotypique est déstabilisé et réagit égocentriquement en concluant que c'est l'interlocuteur qui est défectueux et non sa présomption de l'autre.

Deplus, la rigeur et la précision sont moins importantes que l'effet, l'image générale. La préférence étant donner aux généralités, ce qui traduit l'ordre d'analyse des neurotypiques du général vers le détail.

On pourrait résumer le protocole de communication des neurotypique comme suit:
  1. Les propos doivent obligatiorement avoir un impact émotionnel sur l'interlocuteur. Sinon silence.
  2. La réaction sussité par cette effet doit allez dans le sens voulu (manipulation).
  3. Si ce que vous avez à dire peut causer un effet non voulu alors rester flou et évasif.

L'aspie pour sa part, part du principe qu'il ne peut pas résonablement savoir ce que sait ou pense son interlocuteur. Si celui-ci est un intime il peut assumer certaine base commune, mais sinon il prendra soin de les établir. Cette mise en place des bases communes, passe souvent pour un neurotypique comme du verbiage inutile. L'emphase sera mis sur l'exactitude et la rigeur. Pour convaincre son interlocuteur il lui transmettera les prémisses de son raisonnement et sa conclusion. L'autre est ralier par le biais de la raison pure et non par la manipulation/influence de ses sentiments. La communication a pour but l'échange rigoureux d'information, factuelle ou émotive. La rigeur venant directement de l'importance que les aspies accordent aux détails. Et qui traduit leur méthodologie d'analyse du détail vers le général.

On pourait résumer le protocole de communication des aspies par ces trois rêgles:
  1. Ne parler que de ce qui semble important.
  2. Établir les bases communes (définitions, contexte, etc.)
  3. Etre rigoureux, précis et exacte autant que possible.

Abordons maintenant la dynamique de la communication, les différences entre aspie et neurotypique sont aussi grande que dans la forme. La communication des typique est séquencielle. Chacun parle à son tour, selon un ordre séquenciel. L'aspiens lui converse sur une base événementielle, un mot, un événement externe, et la converssation change de direction. Elle admet l'interruption à tout moment et le retour ultérieur. Par exemple, si au cours de son propos, l'aspie se renconte qu'il à peut-être oublier de définir un élément de base commune, il ouvre ipso facto une parentèse et la définie. Puis reprend son propos. Ce qui évidament déstabilise le neurotypique car sort complètement de sa logique séquencielle.

AspieTypique
Le contenu est le message.La réaction est le message.
Réduire au minimum les malentendus en donnant des bases communes.Réduire au minimum l’effort pour déclencher la réaction souhaitée.
Effort mis sur la rigeur et la précision.Effort mis à rester vague pour éviter de mettre en défaut la «théorie de l'esprit».

De toute ces différences résulte une profonde incompréhension et une grande exaspération. Le neurotypique est exaspéré par l'échec de sa «théorie de l'esprit» et l'aspie perçoit comme hostiles les tentatives de «manipulations» émotionnelles. L'aspie est endormi par la monotonie séquencielle du discourt neurotypique et ce dernier est dérouté par l'absence de séquencialité dans celui de l'aspie.

Évidament les «expertologues» neurotypiques vous diront que la communication aspie est déficiante. Pourquoi, parce qu'elle est différente des neurotypiques évidament. Il s'agit d'un jugement de valeur arbitraire sans aucun fondement.

samedi 11 juillet 2009

Différences 3

Il existe des différences sociales marquées entre aspies et neurotypiques.



De manière générale, les femmes aspiennes sont un peu du genre «garçon-manqué» alors que les hommes sont plus passif que ce qui est normal pour un neurotypique. Et les femmes aspies vont avoir tendance à être l'initiatrice dans la relation amoureuse et l'homme aspie considérera plus 'naturel' (normal) que ce soit la femme qui fasse les premiers pas. A contrario des neurotypiques.


Les aspies sont moins porté à l'apparence des choses. Ils s'habillent généralement de façon simple en évitant les flaflas. Les femmes sont peu portées sur le maquillage et les bijoux. L'intérêt est porté sur l'essenciel, l'être.  A contrario des neurotypiques qui font grand cas de l'image.


Les aspies ont une loyauté et un attachement très fort à l'égard de ceux qu'ils concidèrent comme les membres de leur groupe. Et ils attendent de ceux-ci la réciproque. Les neurotypiques d'un point de vue aspie souffrent souvent d'une déficience en ce domaine.


Les aspies préfèreront rencontrer les gens en petit groupe et éviteront les grands groupes (surtout d'étrangés).


Les aspies utilsent un langage corporel différent de celui des neurotypiques. Qui se caractérise par des expressions faciales typiques et une attitude générale différente. Il en résulte des erreurs d'interprétention entre les deux groupes et des perceptions erronées de part et d'autre.


Les aspies communiquent d'une façon différente au niveau verbal. Les neurotypiques cherchent à manipuler les émotions de leur interlocuteur dans un sens voulu et d'anticiper leurs réactions. Les aspiens vont adopter un mode de communication franc et direct, qui vise à influencer la raison de l'interlocuteur, en lui fournissant entre autre les prémisses, la conclusion, etc.  La communication est un échange de connaissance. Les conversations du type «météo» (smaltalk) sont particulièrement agaçantes et enuyeuses. L'aspie parle quand il a quelques chose à dire qui lui semble digne d'être dit. Je parlerai d'avantage de ces différences dans un autre article car elle sont importante.


Commentaire
Quand on regarde l'ensemble de ces différences on remarque que les hommes et les femmes ont des comportements complémentaires. Et très clairement au niveau amoureux et sexuel. Cela en a conduit plusieurs à la formuler l'hypotèse de caractère spécifique (propre à une espèce). Pour les uns les aspies serait une espèce humaine en cour de différenciation. Les préférences amoureuses divergentes des aspies et des neurotypiques tendant à unir les aspies entre eux. D'autre pense plutôt que c'est le résultat de l'hybridation entre l'homme de néandertal et cromagnon il y a belle lurette. Je trouve ces théories plutôt interressantes car à des annéees lumière des théories officielles pseudomédicales.

vendredi 10 juillet 2009

Différences 2

Dans ce texte, j'aborderai les différences entre Aspies et Neurotypiques dans le domaine de la programmation. Les deux approches peuvent se résumer ainsi:


Approche Aspie
  • Analyse partant des détails du système vers le global.
  • Programmation orientée-objet et composant.
  • Encapsulation des structures dans les objets (les classes).
  • Programmation multitâche (multithread).
  • Événements et interruption comme méthode de planification.


Approche Neurotypique
  • Analyse débutant par le système complet vers les détails de celui-ci.
  • Programmation séquentielle et procédurale.
  • Structures globales.
  • Programmation conditionelle.
  • Scrutation comme méthode de planification.
  • Machine à état fini.


Méthodes d'analyses
La méthode d'analyse de prédilection des neurotypiques consiste à débuter avec une image générale de la solution puis de la détailler progressivement. C'est la méthode qui consiste à produire flowchart et machine à état fini en décomposant le système en une longue séquence d'opérations. Cette approche séquencielle oblige un usage extensif de la programmation conditionelle, pour structurer le chaos causé par la méthode elle-même. Cette méthodologie construit des sytèmes monolithiques, peu réutilisables et inflexibles. Elle est taillée sur mesure pour la psyché des neurotypiques car cette méthode ressemble à leur façon normal de penser. Du global vers le détail.


La programmation orienté-objet, exige de déterminer chacun des objets (détails) du système et c'est la méthode favorite des aspies. Cette façon de faire du détail vers le global, produit des systèmes fait d'un assemblage de composants, qui si ils sont bien conçus peuvent être réutilisés. Cette méthode ressemble à la façon normal de penser des aspies qui est basé sur les détails.


Machine à états finis et programmation séquentielle
Au temps de la préhistoire informatique, tout les programmes relevaient de la logique séquencielle et des machine à états finis. S'était un monde neurotypique. Cela avait pour conséquence de conduire à des programmes peu flexibles, qui conduisait souvant à une réécriture pour chaque application. Et qui était généralement difficile à modifier.


La machine à états finis est une saveur de la méthode d'analyse neurotypique. Elle est très prisée par plusieurs d'entre eux. Elle part de la présomption que vous savez que le système ne peut se retrouver que dans un certain nombre d'états connus. Les problèmes arrivent quand le programmeur force le système dans un état qu'il «sait» être le bon, sans tenir compte des faits empiriques. Si les prémisses du programme change il doit être entièrement refait. La présomption est à la base de la communication neurotypique tout comme de la machine à états finis, puisqu'ils «présument» de l'état et de la réaction de leur interlocuteur.


Programmation object
L'aternative aspienne aux machines à états finis et cie, c'est les objets et les classes qui encapsule méthodes, propriétés, événements, protocoles, etc. L'avantage de cette encapsulation c'est que chaque détail est isolé du reste du programme, que les modifications à l'intérieur de l'objet sont transparentes pour le reste du système. Cela permet de créer des programmes flexibles et modulaires, et on obtient en prime des composants réutilisables à volonté dans d'autres applications.


La difficulté est de conduire les neurotypiques à penser comme des aspies, ce n'est vraiement pas une sine cure... Ils ont souvant des difficultés à comprendre correctement les conceptes de méthode et de propriété. Et plusieurs sont mal à l'aise avec les «événements». C'est monnaie courante de voir des neurotypiques exporter l'ensemble des propriétés et méthodes internes de la classe. Ou encore de se sentir obligé d'utiliser des accesseurs (méthodes) pour chaque propriétés (même internes!), accesseurs généralement nommés sur le modèle Setceci() et Getcela()...


Événements
L'informatique d'aujourd'hui repose sur la notion «d'événements» pour tout ce qui à trait à l'interface utilisateur. Parce qu'ils pense de façon séquencielle, les neurotypiques doivent être rééduqué pour penser en terme d'événement, d'interruption et non plus en terme séquenciel. Pour plusieurs cette rééducation est si difficile qu'ils font appel à la scrutation (poolling) dès qu'on leur en laisse la possibilité. Bien que cette methode soit des plus inefficaces. Avec l'avènement du multitâche (multithread) la pensée séquencielle est la voie doré vers l'inefficience et les problèmes. Pour tirer profit des machines multiprocesseurs ils est plus que jamais nécessaire de subdiviser le système en composant, de faire appel au notion d'événement et de synchronisation. La scrutation devient alors d'une inefficience insurmontable et la pensée séquentielle obsolette en se domaine.


Pour l'aspie la planification événementielle est naturelle, c'est instinctif. Alors que pour les neurotypiques c'est une toute autre affaire, eux préfèrent une planification qui consiste à lire à répétition l'état des variables et à effectuer des actions planifiées sur une base chronologique. Cette approche pouvait marché au temps de la préhistoire informatique mais ce n'est plus le cas. Pour l'aspie les actions planifiés sur une base chronologique sont lancées par un événement généré par une minuterie matérielle via le noyau du système d'exploitation. Ce qui est d'une efficacité absolue.


Adaptation d'un texte de Lief Ekblad.

Différences 1

J'ai décidé de vous présenter un exemple d'automatisme industriel pour illustrer les différences dans l'approche pour solutionner les problèmes. Mais en préparant ce document, je me suis aussi rendu compte qu'il pouvait servir de métaphore pour illustrer le fonctionement cérébral des uns et des autres. Cet exemple présuppose une certaine connaissance dans le domaine.


Le problème, très simple pour mettre en évidence la méthode de résolution et non le problème lui-même, consiste à mettre en marche un moteur en appuyant sur un bouton «marche», une fois le bouton relaché le moteur devra continuer à tourner jusqu'à ce que l'on vienne appuyer sur le bouton «arrêt». La solution sera réalisée en utilisant un automate programmable, sorte d'ordianteur spécialiser dans le contrôle industriel.


Façon neurotypique...

Elle intègre clairement sa nature scrutative (polling) et séquentielle qui le caractérise. L'automate programmable neurotypique opérera exactement comme tout les automates actuellement disponible dans le commerce. Dans ces machines, la première chose faite est de lire toute les entrées, locales et distante (via un réseau), et de garder une copie en mémoire de cet instantané. En suite, il utilisera ces valeurs et les appliquera à l'ensemble des équations de logique combinatoire et séquentielle de son programme de haut en bas, de la première ligne à la dernière. Puis il prendra les résultats de ces calculs et les reportera sur les sorties de l'automate (locale ou distante) et recommencera ce cycle par un nouvel instantané de l'état des entrées. La vitesse de réponse de cet automate dépendra directement du nombre d'opération que comporte le programme. Plus le programme comporte d'opération moins il sera capable de percevoir des opérations rapides. Ainsi que du nombre d'entrée à lire... L'inconvénient de cette approche est de faire des calculs inutiles pour les équations dont les variables n'ont subit aucun changement et de lire des entrées inchangées.


Pour améliorer les performances de leurs machines, certains fabricants d'automates ont introduit dans leurs machines haut-de-gamme des mécanismes permettants de rendre conditionelle l'exécution (calcul) de certaines protions de programme (via des sous-programmes, etc.) Ce qui réduit d'autant la durée de la boucle et le temps de réponse. Ces mécanismes permettent d'introduire une notion de priorité dans l'exécution des choses. On peut ainsi tenir compte d'une série d'équation qu'une fois tout les dix boucles ou à tout les 15 minutes, etc. Cette façon de traiter les priorités s'appel Temps Partager (time sharing) en informatique.


Pour en revenir à notre exemple, la logique combinatoire utilisée pour implenter la solution par ce procédé sera définie par l'équation suivante:



sortie1 = (Marche OU sortie1) ET NON Arret


En ladder, un language graphique et metaphore du circuit électrique équivalent, ça donnera...



| Marche     Arret    Sortie1 |
+---] [---+---]/[---+---( )---+
|         |                   |
| Sortie1 |
+---] [---+
|


Façon Aspie...

Elle est radicalement différente. Elle laisse transparaitre sa nature événementielle, non-séquentiel et la mémoire associative qui le caractérise. Tout d'abord sa version de l'automate programmable sera complètement différente. Au lieu de prendre des instantanées des entrées et d'effectuer des cycles, il réagira sur un changement d'état de l'entrée (un événement) et sera caractérisé par l'absence de cycle. Le programme sera aussi radicalement différent dans sa formulation. La vitesse de réaction de l'automate sera caractèrisé par la vitesse des changements aux entrées de celui-ci. Moins il y a de changement d'état par unité de temps, plus il réagira vite à ces changements. En absence de tout changement il peut effectuer des oppérations dont l'exécution n'est pas prioritaire. Cela ce ferait par la génération périodique d'un événement «RIEN». Ce qui introduit aussi la notion de niveau de priorité associées aux événements. Un évenement prioritaire peut interropre à tout instant l'exécution de l'action associé à un événement moins prioritaire et une fois la réponse de l'événement priorité terminer l'exécution de ce dernier reprendra sont court. Cette façon de traiter les priorités et d'ordonner les tâches à exécuter se nomme Temps Réel (Realtime) en informatique.



Pour en revenir au problème de départ le programme aspiens prendra la forme suivante:




Quand «Marche» monte: Sortie = VRAI;

Quand «Arret» monte: Sortie = FAUX;


Pour ceux qui ont connu des langages comme Hypertalk™ la formulation suivante vous sonnera sans doute quelques cloches... J'ai également introduit la notion de priorité dans le traitement des événements...


priority class low
{
  on  Marche raise:
  set Sortie high
  end
}
priority class high
{
  on  Arret  raise:
  set Sortie low
  end
}

Cet exemple illustre les différences fondamentales entre la façon de faire de nos cerveaux respectifs. Bien sur l'un et l'autre sont capable d'utilser la manière de l'autre, mais la solution apparait alors moins naturelle et intuitive. Car il faut transposer la solution qui nous viens naturellement à l'esprit dans une logique différente. C'est ce que l'on doit faire constament dans une société organisée à rebourd de nos instincts... Certains y arrivent plus difficilement pour diverses raisons et se voit attribuer ipso facto les étiquettes «retard» et «problématique» par la bonne société neurotypique.